Et me revoilà donc pour le troisième épisode de Karneval ! Un épisode qui semble trouver un rythme convenable, malgré encore quelques passages assez rushés sur lesquels je reviendrais. Mais bon sang, ce que j'aime voir ça animé...Je veux dire, évidemment, je dis ça parce que je suis une fan de cette série, j'peux très bien voir les défauts etc, mais J'AIME ça et voilà !

Alors en fait cet épisode reprend...Une bonne partie du tome 2, soit jusqu'au chapitre 10. Dit comme ça, ça paraît beaucoup, mais au final, vu que les chapitres concernés étaient surtout des explications, ça ne se ressens pas tellement que ça, je trouve.

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C'est dans cet épisode qu'on remarque que Nyaruko est une série vachement bordélique quand même. C'est pas que je n'ai pas compris, c'est juste que waoh... c'est tellement le bazar que ça en devient bof. Là on sent les références et les blagues absurdes qui s'envoient à la minute, tac tac tac, ça s'arrête pas. Du coup bah ça devient un peu... faut le dire... chiant à suivre je suis navré.

Ils ont voulu faire de l'action, à ce niveau c'était pas mal mais tout ce qu'il y avait derrière c'était moyen et du coup on a pas eu tant d'interaction entre personnages que ça. Le dernier ép en était rempli, il était très bon, bah là c'est un épisode "bof" comme on dirait dans le jargon.

Et puis ça n'en finit pas de briser le 4ème mur, non sérieusement.

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Cet animé me pose un problème. Ca me poste un problème parce qu'il me fait honte. J'ai honte de le voir, j'imagine souvent quelqu'un qui me voit regarder ça et qui me fait "Mon petit Otaclém qu'est-ce que c'est que cette merde ?". Et pourtant c'est grave parce que ça ne me déplait pas. Et j'ai vraiment beaucoup de mal à l'assumer. Là où j'assume parfaitement ma joie de regarder Oreimo, là vraiment c'est... c'est honteux.

Est-ce que c'est mauvais ? Hé bien pas tant que ça figurez-vous. Red Data Girl je l'ai trouvé ennuyeux, là ça m'accroche, y a de bons éléments et je sais que malgré tout, je serais content quand l'ép sortira chaque semaine. Techniquement y a pas mal de défauts, le principe est assez con. Mais y a des écritures qui sont quand même pas si mal trouvées et ce sont de toutes façons celle-là qui font qu'on aime quand même ce qu'on regarde.

... j'étais en train de me faire le pitch de l'épisode dans la tête... y a du niveau... Le héros, Youto, veut récupérer sa personnalité qu'Azusa lui a prit malgré elle. Donc il fait le... le chien... le chien qui veut suivre sa maîtresse et prendre soin d'elle et c'est absurde je comprends rien... en quoi ça l'aidera ? 'fin bon, il découvre ses secrets et veut lui faire vivre une après-midi de joie... allons-y donc...

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Hé bieeen... ce troisième épisode de DS2 est... du niveau des autres. Et pour ce qu'il veut présenter c'est assez dommage je dois dire...

Il présente deux nouveaux personnages en particulier, et avance l'intrigue de l'envahissement d'un second Septentrione, avec une bonne baston, du piratage informatique, du sang, des pleurs... hé sur le papier ça rend pas trop mal quand même, on voit que des efforts sont faits.

Ah et en plus quelqu'un meurt à la fin.

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Bien, ce soir je vais faire quelque chose d'original, je vais vous parler d'un film live, rien d'animé, c'est des vrais acteurs. Qui plus est, ce sera un film français.

NON NE PARTEZ PAS ATTENDEZ !! LAISSEZ-MOI UNE CHANCE !

Histoire de vous tenir en haleine, je vous rappelle le titre. Je vais mettre ce film en rapport avec les animés de type Japonais pour une bonne raison : j'ai eu l'impression qu'il reprenait certains codes des animés. Bon évidemment y a la petite touche spéciale Française drama romantico chiantique. Mais ça fait tâche, on voit que ça ne se raccorde pas tellement... en tout cas je vais traiter ce film comme si c'était un animé/manga. Avant d'expliquer pourquoi, faisons une petite présentation, voulez-vous ?

Populaire est le premier long métrage de Régis Roinsard, sorti en Novembre 2012. Il met en scène Romain Duris (la voix française de Flynn dans Raiponce ou le héros dans l'Arnacoeur) ainsi que Déborah François (Sonia dans L'enfant). C'est l'histoire d'une jeune femme, Rose Pamphyle qui est une femme assez maladroite dans la vie mais qui a un don, un don assez spécial : elle tape extrêmement rapidement à la machine à écrire. Son patron, Louis Echard, le remarque et décide alors de la former pour en faire une championne et gagner le championnat mondial de vitesse dactylographique.

... ouaaais, restez avec moi encore, hein. Par contre je préviens, je vais spoiler certaines choses.

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