Ouais, je suis assez sévère dans mon titre parce que ça m'a malgré tout plu, mais cet épisode c'est quand même 15 minutes où il ne se passe vraiment rien... Est-ce que j'ai trouvé ça agréable à voir ? Oui. Est-ce que malgré tout c'était bon ? Eh baaaah... je crois que ça se discute. Enfin de toutes façons s'il y a 15 minutes de rien, le reste par contre a son intérêt même si c'est une énième mise en place.

J'comprends, ils avaient fait un schéma plus ou moins similaire dans la saison 1, mise en place tak tak puis explosion énorme à la mi-saison que j'ai trouvé géniale. Puis re-mise en place du deuxième arc et fin de saison absolument génialissime. Bon, avec tout le potentiel qu'a l'arc Sisters, ils ont pas intérêt à nous reservir la même sauce. Là j'vais être cool parce qu'on est au 4/24 épisode, mais attention hein...

Ce qui est intéressant ici ce sera de voir comment sont gérés les clones. Puis outre ça, toute l'affaire qui va en découler mais ce sera pour le prochain épisode. Ca me rappelle quand j'ai créé mes propres clones pour les commentaires de Railgun, ça m'avait inspiré on peut dire, haha. Il faut dire que depuis j'en ai surtout trois de compétents, le reste peu importe n'est-ce pas... donc je laisse le commentaire de cet épisode à 10000, 10438 et 10666, allez-y.

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Bonjour tout le monde, me voilà cette fois pour parler d'un jeu vidéo PC !

Je n'ai jamais été très fan des trucs d'horreur, et ce surtout par manque de courage. Pourtant, même si certains sont vraiment cauchemardesques, j'éprouve une attirance étrange pour les jeux d'horreur amateurs gratuit pour PC fait sur RPG-maker (fiou, ça en fait des critères) , comme par exemple les désormais célèbres dans ce domaine Mad Father, Ao Oni Witch's House, Ib ou plus récemment, Misao. Je reviendrais peut-être sur d'autres de ces jeux par la suite.
Certes, ces jeux ont leurs défauts, on voit directement que y'a pas d'énormes moyens derrière, et à tout casser, le jeu se boucle en quoi ? 4 heures grand maximum ?
Mais pour moi, ces jeux ont vraiment une âme, chacun a un univers propre très bien exploité, et aujourd'hui, je vais commencer à parler de Ib.
Je dis commencer, parce que je compte dédier un second article à mes pensées et interprétations concernant les 10 fins du jeu. Oui monsieur.

Ah, et ce sera quand même des articles d'analyses, alors évidemment, ça spoile.

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Me blâmez pas pour le titre mais bon sang comment c'est trop vrai dans cet épisode... vous savez les filles j'adore ça, j'en prends au petit-déjeuner, au goûter et même avant d'aller me coucher. Ca fait du bien et ça permet de se soulager après une bonne journée de travail. Mais faut pas les laisser entre elles trop longtemps parce qu'après pff... ça parle d'amour... et c'est jamais bon de laisser une fille parler d'amour, ooooh que non.

Et j'en suis navré mais c'est ce qui plombe un peu cet épisode. En soit il est pas mal, il met bien en scène les personnages secondaires comme Tamao, Takehiko et même Shanta, le petit dragon ! C'est un épisode très transitoire qui permet de voir nos héros dans leur vie quotidienne. Ca aurait pu être réussi mais ça a un manque cruel d'humour pour le coup... y a quelques gag sympas mais...

Mais c'est plombé, ce moment de discussion entre Tamao et Nyaruko j'ai bien failli m'endormir, mais voyons un peu ça et parlons-en plus en détail voulez-vous...

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Nous voici pour l'épisode 3 de Hentai machin et je dois dire que... l'air de rien ça devient intéressant, vraiment, je sens que y a une bonne écriture... enfin dans cet épisode c'est en partie seulement. Une moitié m'a bien plus intéressée que l'autre qui par contre m'a un peu dérangée.

Il se compose en deux parties : le dénouement de Azusa qu'on avait laissé en plan à l'épisode précédent puis on commence à s'intéresser à Tsukiko, le quota ultramoe de l'animé. C'est assez bien équilibré quand même parce qu'on ne s'attarde jamais trop apparemment et les personnages se développent.

Même le héros était moins chiant dans cet épisode... même s'il reste toujours aussi lourdingue, ça, je ne vais pas le cacher. Dooonc... en piste pour l'épisode.

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