• Analyses de Malak - Another

     

    Les japonais sont adeptes de deux choses, dans leurs histoires. C'est bien connu. On a soit du shonen, avec un héros surcheatté qui va vaincre un méchant pas gentil grâce au pouvoir de l'amitié à la suite d'une aventure palpitante. Soit on a du fan-service, nichons dévoilés, courbes généreuses, source d'eau chaude et compagnie. Et le plus souvent d'ailleurs, ces deux choses vont ensemble. Mais parfois, il arrive qu'on trouve une œuvre sans rien de tout cela. Une œuvre bien éloignée des bons sentiments et de la baston. Des œuvres sombres, glauques, à suspense, avec hémoglobine assurée. Y'en a une qui m'a particulièrement tapé dans l'œil. J'ai nommé Another.

    Another est à l'origine un roman d'horreur et de suspense, un peu du style Stephen King. Fort de son succès, il a été adapté en manga puis en un animé de douze épisodes sorti en 2012. Et c'est de quoi nous allons causer aujourd'hui. Donc, Another, de quoi ça cause ? Eh bien je vais vous le dire, nobles messieurs et gentes dames.  

    Dans la petite ville de Yomiyama, la classe 3-3 du collège est considérée comme maudite. Cette malédiction se distingue par la mort subite, mais explicable, de professeurs, d'élèves ou de membres de leurs familles chaque mois, et ce depuis 26 ans. À cette époque, dans cette classe, un élève très apprécié est mystérieusement décédé. Ses camarades et ses professeurs, ne supportant pas le choc, on fait comme s'il n'était pas mort, et qu'il était toujours là. Depuis, chaque année, un mort s'invite dans cette classe, s'ajoutant à la liste des élèves, sans qu'on sache qui il est. Et tant qu'il est là, des accidents tragiques surviennent à chaque mois. Koichi est un élève tout juste transféré dans cette classe, sans rien connaître de son histoire. Il va y rencontrer une mystérieuse jeune fille avec un bandeau sur la tête, que tout le monde semble ne pas voir. Et dès lors, la classe sera frappée de morts suspectes. Un mort s'est invité dans la classe 3-3. Serez vous le retrouver avant qu'il ne soit trop tard ?

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  • Analyses de Malak - Accel World

     

    Reki Kawahara. Non, ça ne vous dis rien ? C'est pourtant un auteur de romans des plus prolifiques au pays du soleil levant. On lui doit, bien sûr, le célébrissime Sword Art Online, adapté en quantité de trucs. Mais SAO n'était pas le premier roman qu'il a publié. Non, y'a une série un peu moins connu qu'il a écrite avant, et qui a été adapté en animé à peu près en même temps que SAO. Voici donc Accel World.

    Accel World, tout comme SAO, se décline en plusieurs romans. Y'en a 17 de mémoire pour l'instant. Les cinq premiers romans ont été adapté en animé d'une saison en 2012. Alors, Accel World, de quoi ça cause ? Ben, à peu près de la même chose que SAO, de jeux-vidéo en ligne, mais avec toutefois quelque différences, dans le fond comme dans la forme. Petit résumé :  

    En 2046, la technologie a fait naître le Neuro-Linker, un système qui permet à l'utilisateur de manipuler ses cinq sens pour accéder à une réalité augmentée et rechercher des informations sur Internet, mais qui permet aussi d'entrer dans un univers virtuel sous la forme d'un avatar reflétant sa personnalité, son moi, selon ce qu'il pense de lui-même. Le jeune Haruyuki Arita, petit, gros, timide, est le souffre-douleur d'une bande de garçons de son collège. Son seul refuge, là où il se sent libre et doué pour quelque chose, se trouve dans l'univers virtuel du réseau de l'établissement, où il est parmi les premiers d'un jeu de squash... jusqu'au jour où la plus belle fille de son école vient l'y trouver et lui donne rendez-vous dans le monde réel pour discuter. Une rencontre qui va bouleverser la vie de Haruyuki. Elle lui apprend en effet l'existence du monde accéléré et lui partage une application, le Brain Burst, qui s'installe directement dans le Neuro-Linker, mais qui implique certaines contreparties... Une nouvelle aventure, en tant que Silver Crow, commence alors pour Haruyuki dans le monde accéléré de Brain Burst.

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  • Analyses de Malak - Code Geass

     

    Sortie en 2006 au japon, et adaptée en deux saisons de 25 épisodes chacune jusqu'en 2008, Code Geass est ce que nous pourrons qualifier de blockbuster japonais. La série est rapidement devenu un phénomène et est aujourd'hui l'un des grands incontournables de la japanimation. C'est une production originale ; elle n'est tirée d'aucun manga, jeu ou light novel. En revanche, après le succès de l'animé, la série a été adapté en manga, OAV, jeux vidéo et quantité d'autre choses dont je ne parlerai pas ici. Place à l'analyse analytique de ce chef d'œuvre.

    Déjà, Code Geass, de quoi ça cause. Petit résumé :

    Dans un monde de Code Geass, la planète est divisée en trois grandes superpuissances. L'Empire de Britannia, qui possède une bonne partie du globe, l'Euro Universe, et la Fédération Chinoise. En 2010, le Saint Empire de Britannia déclare la guerre au Japon, pays resté neutre. L'Empire le conquiert très rapidement à l'aide sa technologie révolutionnaire : les Knightmare, des robots pilotables. Après la guerre, le Japon devient une colonie de l'Empire, la Zone 11, et ses habitants sont renommés les Eleven.

    Sept ans plus tard, nous suivons le parcours de Lelouch, jeune britannien habitant en Zone 11, qui est en réalité un prince déchu de l'Empire. Plein de haine pour sa famille et son père l'Empereur après la mort de sa mère et son bannissement de l'Empire, il va tenter de pousser les japonais à la révolte, et ce grâce à un mystérieux pouvoirs nommé le Geass, qui lui permet d'imposer sa volonté à tout le monde. Sous le masque du révolutionnaire Zero, Lelouch devra affronter à la fois son pays, sa famille, mais aussi son meilleur ami Suzaku, un japonais se battant pour l'armée britannienne. Et pour cela, pour sa quête de vengeance et le désir de protéger sa jeune sœur handicapé, Lelouch n'hésitera pas à commettre les pires atrocités.

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  • Sword Art Online ou Prélude du chaos

     

    Eh oui, si vous avez suivi mes articles, vous avez pu voir qu'à la place du Disneymanche, il y aura une autre surprise. Si vous avez suivi quelques commentaires ou détails, vous auriez pu deviner qu'il s'agit de Sword Art Online. Car oui, c'est de cet animé dont nous allons parler aujourd'hui. Je vous annonce donc que je ferai la review de la saison 2 cet été et donc avant il faut bien que je vienne parler de la première, c'est ce que nous allons faire.

    Je ne prétends pas rajouter vraiment de choses à ce que vous avez pu entendre... énormément de choses ont déjà été dites sur SAO (Sword Art Online). En effet, si vous n'avez jamais entendu parler de cet animé alors que vous fréquentez même un petit peu le milieu de la japanimation, c'est que vous mentez. Il a créé une grande vague de popularité et possède dès lors un grand fandom qui n'hésite pas à prendre les armes pour défendre leur précieux trésor.

    Du coup, je ne pense pas dire beaucoup plus que ce qui a déjà été dit là-dessus, certaines choses vous sembleront de la redite mais je vais surtout faire passer mon avis personnel sur cet animé, expliquer ce que j'aime et ce que j'aime moins. Tenter donc de préparer le terrain à sa suite qui arriver si je ne me trompe pas le 5 ou 6 Juillet. Evidemment, ça va comprendre nombre de spoilers sur la série.

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  • Haibane Renmei, l'envolée

     

    J'ai généralement pour habitude de mettre un screen de l'animé que je review. Bon. Les images de celui-ci sont tellement jolies que ça aurait été criminel de ne pas en mettre. J'aime beaucoup ce style de dessin, les couleurs... le rendu en fait. Donc j'ouvre le bal avec ça.

    Haibane Renmei... connu aussi sous les noms de Ailes Grises en Français... c'est un animé qui m'a été conseillé par une amie, il y a un petit moment. J'ai longtemps attendu avant de le voir. Non pas parce que ça ne me donnait pas envie, simplement par flemmardise et parce que j'avais d'autres choses à voir. Eh bien je dois faire mes excuses à cette amie... mes excuses d'avoir autant attendu pour le voir.

    Car elle avait raison, oui, c'est mon genre d'animé. Et oui, c'est très très beau.

    Oh bien sûr il n'y a pas d'intrigue mega complexe, des personnages à la forte psychologie, une prouesse technique impressionante (2002 qu'il date, ça fait plus de 10 ans...) mais... wah... il a cette force... cette force pure d'offrir une histoire qui fait rêver. Une histoire qui fait réfléchir et qui émeut. C'est bien dosé, c'est précis... cet animé offre beaucoup à son spectateur. Je vais vous en parler.

    Faire une critique... serait difficile car c'est un style assez particulier. Je vais tenter en restant vague de parler de l'animé, et je ne pense pas faire de spoiler car je ne compte pas ici critiquer, non. Je veux juste retranscrire ce que Haibane Renmei m'a fait ressentir. Allons-y.

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